L’histoire derrière nos cadres CD
Quand la musique rencontre le design
Il suffit parfois d’apercevoir une pochette d’album pour être instantanément transporté dans une scène de vie du passé.
Ce CD de Radiohead qui nous rappelle ces soirées d’adolescence passées à refaire le monde…
Cette compilation qui nous ramène à ce road trip inoubliable…
Cet album de jazz découvert dans le salon de nos parents, devenu notre madeleine de Proust musicale…
Ces souvenirs cristallisés dans un simple objet de 12 cm de diamètre méritaient mieux qu’un rangement anonyme.
Ils méritaient d’être célébrés, exposés, honorés comme les œuvres d’art qu’ils sont véritablement.
Un Hommage aux créateurs
Derrière chaque album se cache un univers créatif fascinant.
Les musiciens, bien sûr, mais aussi les producteurs, les ingénieurs du son, les graphistes, les photographes. Tous ces artistes qui ont contribué à créer cette œuvre complète, visuelle et sonore.
En encadrant un CD, nous rendons hommage à cette création collective. Nous célébrons non seulement la musique, mais aussi le travail minutieux du graphiste qui a conçu la pochette, du photographe qui a capturé l’essence de l’album, du directeur artistique qui a orchestré l’ensemble.

Vous vous souvenez ?
Quand on glissait le CD dans le lecteur et qu’on on se laissait porter par le voyage musical que l’artiste avait imaginé.
Cette découverte progressive des titres, cette surprise de tomber amoureux d’une chanson qui n’était pourtant pas le single principal. Combien de nos morceaux préférés étaient-ils des pistes cachées, des faces B que nous n’aurions jamais découvertes sans cette écoute patiente et complète ?
Et puis qui n’a jamais passé de longues minutes à parcourir le livret d’un album ? À découvrir les noms des musiciens, les photos, les studios d’enregistrement, les remerciements touchants de l’artiste ? Une véritable plongée dans les coulisses de la création musicale.
Ces petits trésors d’informations transformaient chaque album en aventure,
en exploration d’un univers artistique complet.
Au-delà de l’aspect émotionnel, il faut rappeler une vérité technique souvent oubliée :
le CD reste le support musical le plus performant en termes de qualité audio.
Cette fidélité sonore exceptionnelle que nos oreilles contemporaines, habituées aux fichiers compressés, ont presque oubliée.
Chaque CD que nous encadrons est le témoin de cette excellence technique,
de cette époque où la qualité d’écoute primait.
La musique comme Art de Vivre
Aujourd’hui, face à une génération habituée au zapping musical constant, nous souhaiterions, à travers nos cadres CD, transmettre l’art de prendre son temps avec la musique.
De redécouvrir le plaisir de l’écoute sans interruption, sans le réflexe du « skip » compulsif.
Nos cadres CD ne sont pas de simples objets décoratifs.
Ils sont les gardiens de notre mémoire musicale, les témoins de nos émotions, les ambassadeurs d’une époque où la musique se savourait différemment.
Chaque cadre que nous créons porte cette philosophie : redonner ses lettres de noblesse à l’objet musical, transformer nos intérieurs en galeries de souvenirs sonores, créer des ponts entre les générations autour de l’amour partagé de la musique.
Le Compact Disc
Un objet qui a révolutionné l’industrie musicale
L’histoire du CD commence en 1979. À cette époque, Philips et Sony ont constitué une équipe d’ingénieurs chargée de travailler sur un projet très spécifique : concevoir un disque capable de stocker de la musique en format numérique. Un disque plus petit que le vinyle, moins fragile et capable de capturer des nuances jusqu’alors imperceptibles.
Le premier CD mis sur le marché fut l’album « 52nd Street » de Billy Joel (sorti en vinyle en 1978). Il est devenu disponible en CD le 1er octobre 1982 au Japon, coïncidant avec la sortie du premier lecteur CD, le CDP-101 de Sony.
Les ventes ont démarré lentement, mais tout s’est accéléré en 1985 lorsque Dire Straits a sorti son cinquième album, Brothers in Arms. Ce disque fut le premier album à être enregistré entièrement en numérique. Il a fait découvrir le compact disc au grand public et est devenu le premier CD à se vendre à plus d’un million d’exemplaires.

L’histoire derrière nos cadres CD
Quand la musique rencontre le design
Il suffit parfois d’apercevoir une pochette d’album pour être instantanément transporté dans une scène de vie du passé.
Ce CD de Radiohead qui nous rappelle ces soirées d’adolescence passées à refaire le monde…
Cette compilation qui nous ramène à ce road trip inoubliable…
Cet album de jazz découvert dans le salon de nos parents, devenu notre madeleine de Proust musicale…
Ces souvenirs cristallisés dans un simple objet de 12 cm de diamètre méritaient mieux qu’un rangement anonyme.
Ils méritaient d’être célébrés, exposés, honorés comme les œuvres d’art qu’ils sont véritablement.
Un Hommage aux créateurs
Derrière chaque album se cache un univers créatif fascinant.
Les musiciens, bien sûr, mais aussi les producteurs, les ingénieurs du son, les graphistes, les photographes. Tous ces artistes qui ont contribué à créer cette œuvre complète, visuelle et sonore.
En encadrant un CD, nous rendons hommage à cette création collective. Nous célébrons non seulement la musique, mais aussi le travail minutieux du graphiste qui a conçu la pochette, du photographe qui a capturé l’essence de l’album, du directeur artistique qui a orchestré l’ensemble.

Vous vous souvenez ?
Quand on glissait le CD dans le lecteur et qu’on on se laissait porter par le voyage musical que l’artiste avait imaginé.
Cette découverte progressive des titres, cette surprise de tomber amoureux d’une chanson qui n’était pourtant pas le single principal. Combien de nos morceaux préférés étaient-ils des pistes cachées, des faces B que nous n’aurions jamais découvertes sans cette écoute patiente et complète ?
Et puis qui n’a jamais passé de longues minutes à parcourir le livret d’un album ? À découvrir les noms des musiciens session, les studios d’enregistrement, les remerciements touchants de l’artiste ? Cette intimité avec l’œuvre, cette plongée dans les coulisses de la création musicale.
Ces petits trésors d’informations transformaient chaque album en aventure, en exploration d’un univers artistique complet.
Au-delà de l’aspect émotionnel, il faut rappeler une vérité technique souvent oubliée :
le CD reste le support musical le plus performant en termes de qualité audio.
Cette fidélité sonore exceptionnelle que nos oreilles contemporaines, habituées aux fichiers compressés, ont presque oubliée.
Chaque CD que nous encadrons est le témoin de cette excellence technique,
de cette époque où la qualité d’écoute primait sur la praticité du stockage.
La Musique comme Art de Vivre
Aujourd’hui, face à une génération habituée au zapping musical constant, nous souhaiterions, à travers nos cadres CD, transmettre l’art de prendre son temps avec la musique.
De redécouvrir le plaisir de l’écoute sans interruption, sans le réflexe du « skip » compulsif.
Nos cadres CD ne sont pas de simples objets décoratifs.
Ils sont les gardiens de notre mémoire musicale, les témoins de nos émotions, les ambassadeurs d’une époque où la musique se savourait différemment.
Chaque cadre que nous créons porte cette philosophie : redonner ses lettres de noblesse à l’objet musical, transformer nos intérieurs en galeries de souvenirs sonores, créer des ponts entre les générations autour de l’amour partagé de la musique.
Le Compact Disc
Un objet qui a révolutionné l’industrie musicale
L’histoire du CD commence en 1979. À cette époque, Philips et Sony ont constitué une équipe d’ingénieurs chargée de travailler sur un projet très spécifique : concevoir un disque capable de stocker de la musique en format numérique. Un disque plus petit que le vinyle, moins fragile et capable de capturer des nuances jusqu’alors imperceptibles.
Le premier CD mis sur le marché fut l’album
« 52nd Street » de Billy Joel (sorti en vinyle en 1978). Il est devenu disponible en CD le 1er octobre 1982 au Japon, coïncidant avec la sortie du premier lecteur CD, le CDP-101 de Sony.
Les ventes ont démarré lentement, mais tout s’est accéléré en 1985 lorsque Dire Straits a sorti son cinquième album, Brothers in Arms. Ce disque fut le premier album à être enregistré entièrement en numérique. Il a fait découvrir le compact disc au grand public et est devenu le premier CD à se vendre à plus d’un million d’exemplaires.
